dimanche 16 avril 2017

Réactivation du projet ferroviaire Bizerte-Tabarka

Tunisie : Réactivation du projet de la ligne ferroviaire Bizerte-Sejnane-Tabarka

Par -

éco-bricolage

couverture en vieux t-shirt

cannettes d'aluminium transformées en cendrier et bougeoirs

autre forme de bougeoir

lampe bocal et contrepoids "nostalgique"


dimanche 17 avril 2016

Montagne propre au Maroc, avec summit foundation de Vevey


Opérations de ramassage sur le Toubkal


Après une première édition couronnée de succès en 2011, la Fondation a pris part à nouveau à l’organisation et au déroulement d’une deuxième opération de ramassage des déchets sur le Djbel Toubkal dans le Haut-Atlas marocain en 2012.

Plus haut sommet d’Afrique du Nord, et considéré par beaucoup comme «la montagne des montagnes», le Toubkal subit quotidiennement les assauts de trekkeurs de tout horizon, laissant malheureusement des traces bien visibles de leur passage. En effet, déchetteries sauvages et déchets en tout genre se retrouvent en nombre sur les voies d’accès au sommet.

Alors afin de préserver cette magnifique région et également d’éveiller la conscience des gens sur les impacts des déchets en montagne, 3 jours ont été consacrés, corps et âmes, au ramassage d’un maximum de déchets et à l’évacuation de ceux-ci.

L’objectif principal cette année était en effet de continuer le travail important de curage des différentes décharges sauvages en altitude afin de ne pas encourager la poursuite de ces pratiques à l’avenir.

Le bilan de la 2ème opération a été très positif à nouveau: 50 bénévoles de tous horizons impliqués sur 3 jours, 45 sacs de blé remplis de déchets et redescendus de la montagne à dos de mules pour un total de près de 600kg, et surtout de superbes souvenirs!

Un grand merci à tous les bénévoles pour leur implication et leur bonne humeur! Et un grand coup de chapeau à «Mountain Propre» pour cette opération magnifique.

Au plaisir de se retrouver pour une prochaine opération, Inch Allah.
Summit FOUNDATION et Mountain Propre organisent une opération de ramassage des déchets sur le Djebel Toubkal, le plus haut sommet d'Afrique du Nord dans le Haut-Atlas marocain.


Summit FOUNDATION et Mountain Propre organisent une opération de ramassage des déchets sur le Djebel Toubkal, le plus haut sommet d'Afrique du Nord dans le Haut-Atlas marocain.






http://summit-foundation.org/fr/maroc

vendredi 15 avril 2016

paru dans un journal gratuit en suisse aujourd'hui

Tunisie

15 avril 2016 10:18; Act: 15.04.2016 10:23Print

La saleté a pris le dessus dans les rues

Face à la dégradation de l'environnement en Tunisie, les autorités affirment vouloir agir, mais sans convaincre.

Une faute?
Le Premier ministre Habib Essid l'a admis devant le Parlement: la situation environnementale s'est fortement détériorée ces dernières années, avec «des conséquences négatives sur la qualité de vie» des Tunisiens. Sacs en plastique qui bourgeonnent dans les arbres, bouteilles vides qui bouchent les égouts et décharges qui débordent, la situation est grave.
Pour certains, cette dégradation s'explique surtout par la désorganisation des administrations à la suite du soulèvement populaire qui a mis fin en 2011 aux 23 années de dictature de Zine El Abidine Ben Ali.
«L'environnement est la première victime de la révolution», affirme à l'AFP le militant écologiste Abdelmajid Dabbar.
Ainsi, dans les municipalités, le ramassage des déchets ne se fait plus de façon efficiente. De simples «délégations spéciales» ont été constituées après la révolution pour gérer les affaires courantes. Aucune date n'a encore été fixée pour la tenue d'élections locales, qui pourrait se tenir au printemps 2017.
Cette situation provisoire favorise un laisser-aller général et le dépôt anarchique des déchets s'est généralisé, comme dans le centre de Tunis, où il est rare de déambuler sans tomber sur des amoncellements de détritus faisant le festin de chats errants.
Décharges anarchiques
Si les administrations portent une part de responsabilité, «le citoyen est le premier responsable de la détérioration de la situation environnementale», accuse M. Dabbar, rencontré au parc du Belvédère, principal poumon de la capitale.
En mars, des photos d'une pelouse de ce parc jonchée de détritus au soir d'un dimanche printanier ont circulé sur les réseaux sociaux, suscitant l'émoi.
Chaque année, les 11 millions de Tunisiens produisent quelque 2,3 millions de tonnes de déchets ménagers et utilisent près d'un milliard de sacs en plastique non recyclables, selon des chiffres officiels.
Les autorités enfouissent 80% de ces déchets sur une quinzaine de sites répertoriés, le reste finissant dans des «décharges anarchiques», selon le ministère de l'Environnement.
Les décharges arrivent en outre à leur capacité maximale d'absorption, et il est difficile de trouver de nouveaux terrains, ajoute-t-il.
En mars, le Parlement a amendé la loi pour durcir les sanctions contre le dépôt anarchique de déchets, désormais passible d'une peine de prison allant de 16 jours à trois mois et/ou d'une amende de 300 à 1.000 dinars (130 à 440 euros).
Il y a peu, le ministre Néjib Derouiche a annoncé qu'un projet de loi interdisant la fabrication et la distribution des sacs plastique non recyclables serait présenté au Parlement, promettant «de lourdes amendes» aux contrevenants. Ces sacs menacent la vie de plusieurs espèces terrestres et marines, argue son ministère.
Question secondaire
Mais ces annonces sont accueillies avec scepticisme car «des mesures similaires ont déjà été annoncées par le passé et sont restées lettre morte», relève Abdelmajid Dabbar, qui parle de «folklore».
Fondateur de l'association «Tunisie Recyclage», Houssem Hamdi se dit lui aussi préoccupé. «Est-ce qu'on a fourni les moyens nécessaires à la bonne application de la loi (sur les sacs plastique) ? Est-on sûr qu'il ne va pas y avoir de corruption dans son application?», s'inquiète-t-il.
Les doutes sur la détermination des autorités s'expriment jusque dans la fonction publique. «Avec la succession d'attaques (djihadistes), la lutte antiterroriste est devenue la priorité de l'Etat. Les autres questions ne viennent qu'après», déplore une source ministérielle sous couvert de l'anonymat.
Face au scepticisme ambiant, Abdelmajid Hamouda, directeur général de l'Agence nationale de gestion des déchets (Anged), qui dépend du ministère de l'Environnement, appelle à «appliquer sévèrement la loi». Mais il reconnaît que cela doit s'accompagner «d'une grande opération de sensibilisation» auprès des citoyens.
«Tout le monde est convaincu qu'il faut changer (...) le mode et l'esprit de la gestion des déchets d'une façon générale. Il faut aller vers la gestion intégrée» avec un suivi de l'ensemble du processus de prise en charge des ordures, du dépôt au recyclage en passant par la collecte, poursuit-il.
En attendant, les autorités ont lancé un appel d'offres international pour la mise en place d'une unité de valorisation des déchets ménagers sur l'île touristique de Djerba, un projet pilote qui devrait voir le jour en 2018.
(nxp/afp)



http://www.20min.ch/ro/news/monde/story/13093040

mercredi 13 avril 2016

Environnement: Le recyclage des déchets, un créneau à encourager

L’association « Tunisie Recyclage » a organisé hier une matinée de sensibilisation au tri sélectif, placée sous le signe « Tout ce qui se ressemble va ensemble ». En tout, ils étaient à peine une quinzaine à s’activer au local de l’association, pour faire le sous-tri des sacs collectés et la classification des déchets par matière et type, le tout dans une ambiance conviviale et bon enfant. Leur mission achevée et malgré l’ébauche d’effort fourni, tous les participants sont repartis avec le sentiment du devoir accompli. Peu attractive pour certains, la gestion des déchets est pourtant capitale pour la préservation de l’environnement. C’est aussi un geste citoyen écologique et responsable qui a de nombreux avantages à court comme à long terme.

Engagement environnemental
Lancée en 2012, « Tunisie Recyclage » est une association environnementale ayant pour credo « Le tri, c’est vous. La collecte, c’est nous. » Oeuvrant principalement à la banlieue Nord de Tunis, cet organisme vise à réduire la quantité énorme de déchets domestiques dans cette zone en recyclant tout ce qui peut l’être. Depuis son lancement, l’association a mis en place un système de collecte de déchets bien organisé. Ainsi, deux gros sacs poubelle de deux couleurs distinctes sont distribués hebdomadairement à tous les habitants de la Banlieue Nord qui le désirent. Le bleu sert à collecter les boîtes de conserve, les canettes et le plastique (sacs, bouteilles, emballages, pots de yaourt...). Le vert est dédié au carton, au papier et aux emballages cartonnés. L’association insiste toutefois sur un point. Les déchets, autres que ceux en papier ou en carton, doivent être vides et rincés. « Tunisie Recyclage » récupère aussi les piles usagées et le verre entier ou brisé qui doivent être déposés dans des cartons et non pas dans les sacs. La collecte des sacs remplis de déchets ménagers triés se fait quasi-quotidiennement, soit du lundi au vendredi.

Le camion, talon d’Achille de l’association
Toutefois, faute de moyens financiers conséquents, il arrive que la collecte de déchets soit interrompue momentanément à cause des pannes récurrentes du camion désuet de l’association. Pour Valérie Thomas, Vice-Présidente de « Tunisie Recyclage », le ramassage reste le « Talon d’Achille », justement à cause de ce camion dont la maintenance absorbe 40% des revenus de la revente des déchets. L’achat d’un nouveau camion ne coûterait pas moins de 45 000 DT. Autres petits soucis mineurs, l’Agence Nationale de Gestion des déchets (ANGED) est parfois en rupture de stock des sacs écologiques distribués par l’association et la collecte se fait dans des sacs poubelles classiques. En dépit de ses efforts énormes pour la protection de l’environnement et le développement durable, « Tunisie Recyclage », à l’instar d’autres associations tunisiennes et plus particulièrement celles environnementales, manque de moyens pour pérenniser et étendre son activité. L’association s’est vu octroyer en décembre 2014 une subvention de 10 000 DT de la part du ministère de l’Environnement et les déchets ramassés sont revendus aux recycleurs mais ce qui est insuffisant selon les responsables de « Tunisie Recyclage ». En avril dernier, l’organisme a annoncé ne plus être en mesure d’assurer la gratuité de ses services et a sollicité l’aide de tous les bénéficiaires en forme d’une cotisation de 20 DT. Une contribution symbolique mais vitale pour l’association qui est actuellement à la recherche d’ambassadeurs de quartiers bénévoles qui auraient pour mission de promouvoir le tri sélectif dans différentes zones de la Banlieue Nord.

Des déchets peu innofensifs
Selon l’ANGED, la Tunisie produit chaque année près de 2,2, millions de tonnes de déchets ménagers, soit 0,6%kg par jour pour chaque citoyen, essentiellement composés de matières organiques (68%), de plastique (11%) et de papier (10%). De même, ils sont dans la plupart des cas saturés en eau (70-80%). Si certains déchets se dégradent rapidement dans la nature (mouchoir en papier, pelure de fruit...), d’autres ont une durée de vie pouvant dépasser les 50 voire 100 ans, tels que les canettes (de 10 à 100 ans), les boîtes de conserve (50 ans), les boîtes en aluminium (de 100 à 500 ans), les piles (200 ans), les sachets en plastique (450 ans), les filets de pêche modernes (600 ans), les briquets (1000 ans). Une bonne gestion de ces déchets permet de maîtriser chaque type de détritus de sa production à son élimination, de réduire la pollution et surtout de faire des économies. C’est pourquoi, l’Etat aurait tout à gagner en encourageant l’association « Tunisie Recyclage » et tous les autres projets de la société civile qui oeuvrent dans le domaine de l’environnement.

Rym BENAROUS


http://www.letemps.com.tn/article/89695/environnement-le-recyclage-des-d%C3%A9chets-un-cr%C3%A9neau-%C3%A0-encourager

lundi 11 avril 2016

Plan A - the Dandy Wahrols


All of us, all of us sing about it
All of us sing about it
All of us, all of us sing about it
All of us sing about it

There must be some kind of plan A
For all the people who can manage
All of us who can handle it
With all of this damage

All of us, all of us sing about it
All of us sing about it

There must be some kind of message
Simple but somehow impressive
Anyone who can think of something
Come on now just express it

There must be some kind of plan A
For all the people who can manage
All of us who can handle it
With all of this damage

All of us, all of us sing about it
All of us sing about it
All of us, all of us sing about it
All of us sing about it


https://www.youtube.com/watch?v=AueGN0b_dGo&nohtml5=False

projet pilote de Tri des Ordures Ménagères à Kélibia

coopération tuniso-suisse 2005

http://www.aekelibia.org.tn/pdf/tri.pdf